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Nouveau code des investissements : Un outil pour promouvoir le « risque » Algérie  

Le nouveau code des investissements, adopté l’année dernière par le parlement, devient dans la bouche des responsables algériens comme une espèce de talisman avec des effets magiques sur l’afflux des capitaux étrangers en Algérie. Hier en conférence de presse, à l’occasion  de la 54éme foire internationale d’Alger, qui se tiendra du 20 au 25 juin, le ministre du Commerce y est allé de sa tirade pour défendre ce nouveau dispositif qui, dit-il «  a promu une nouvelle façon de concevoir l’investissement en Algérie ».L’un des effets( le code) « est d’avoir mis fin à la bureaucratie, aux décision improvisées, à l’arbitraire, à travers des obstacles absurdes érigés sur la voie que doit emprunter chaque investisseur qui doit prendre le risque Algérie », se félicite Tayeb Zitouni qui met en exergue « la stabilité » qu’offre la nouvelle loi. « La nouvelle loi offre la visibilité à l’investisseurs qui n’est plus astreint aux aléas des changements périodiques des textes et si changement il y a désormais, ce sera tous les dix ans » ajoute encore le membre du Gouvernement qui met au crédit du président e la République ce changement majeur ».  « Les incitations contenues dans le nouveau code ont trouvé un écho favorable auprès des investisseurs venus de l’Italie et de la Russie vers une nouvelle Algérie avec une nouvelles vision de l’économie fondée sur le Gagnant/Gagnant et aussi l’ambition de faire du marché algérien une plate-forme d’exportation vers les pays du continent africain », fait valoir le ministre du Commerce et de la Promotion des investissements. Outre, la code des investissements, dont la 54éme FIA servira un peu de caisse   de résonnance auprès des invités de l’Algérie, le ministre s’est fendu de quelques statistique pour inique que cette FIA verra la participation de 43 entreprises algériennes et 165 étrangères, représentant 30 pays invités. « Algérie vision et nouvelles perspectives », est le slogan du rendez-vous commercial international en Algérie qui ouvrira ses portes à la participation de pays africains, européens, asiatiques et d’Amérique latine.    Invité d’honneur, l’Italie sera représentée dans cette édition par 13 exposants activant dans les secteurs de l’énergie et des énergies renouvelables, l’industrie, le bâtiment, les grandes infrastructures de base, les technologies de l’information et de la communication, le transport maritime, l’agriculture et les services. La nouveauté de la nouvelle édition de la FIA est le lancement du premier salon numérique algérien pour représenter les cinq secteurs sur lesquels mise l’Algérie afin de réaliser un bond économique hors hydrocarbures a savoir   entre autres des secteurs de l’industrie, toutes filières confondues, l’agriculture, le tourisme, l’économie du savoir, les technologies de l’information, les énergies renouvelables, poursuit le ministre  dont le message  subliminal est se veut un appel  de pied à l’investisseur étranger pour accompagner l’Algérie dans sa transition économique                .

H. Khellifi

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