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Une femme retrouvée morte dans la forêt d’El M’ridj de Constantine : La piste de l’assassinat privilégiée

Les services de la Gendarmerie de Constantine ont réussi à élucider le mystère entourant la disparition de la jeune femme, survenue il y a près d’une semaine, de son domicile familial, situé au lieu-dit Djamaa Tarcha, non loin du village d’El-M’ridj. Son corps sans vie a été découvert dans une forêt de la commune d’Ibn Ziad (El-Haria), relevant de la daïra d’Ain Abid. Répondant aux initiales K. F. et âgée de 34 ans, la victime a été enterrée dans l’après-midi d’avant-hier, mardi 8 août. Selon les informations recueillies auprès de diverses sources, la découverte du corps rendue possible grâce à une enquête approfondie menée par les services de la Gendarmerie, qui ont mené leurs investigations en se basant, notamment, sur les informations fournies par la famille de la jeune femme. Cependant, ces informations étaient parsemées de contradictions flagrantes, ce qui a éveillé les soupçons des enquêteurs. Après des recherches approfondies et des investigations poussées, ces derniers ont fini par émettre l’hypothèse d’une disparition liée à un acte criminel. Les interrogatoires des trois frères ont confirmé leurs doutes, selon les mêmes sources. A l’issue des procédures réglementaires, le corps a été retrouvé sans vie et en voie de décomposition dans une forêt de la commune d’Ibn Badis. Les premiers éléments de l’enquête indiquent que la trentenaire aurait été assassinée et son corps jeté en plein air dans la forêt, et ce, après avoir reçu des coups de poignard sur ses membres supérieurs et un coup sévère à la nuque. En ce qui concerne les motifs de ce meurtre présumé, qui a suscité l’émoi parmi les habitants du village d’El M’ridj, les avis divergent parmi ces derniers, ainsi que parmi les nombreux internautes ayant commenté cette affaire sur les réseaux sociaux. Soulignons, toutefois, que les services de sécurité poursuivent toujours leurs investigations sur le terrain afin de déterminer les causes exactes de cette mort, d’établir les responsabilités et de traduire les auteurs en justice.

a. Mallem

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