Avec une position géographique à l’extrême Est du pays et deux accès principaux, à partir de la gare ferroviaire et de Sidi Brahim, la ville est comme « étranglée », et peine à retrouver une circulation automobile fluide. Cette situation se complique davantage en été, une période synonyme de vacances, où un grand nombre de véhicules affluant de toutes parts, devient de plus en plus dense. Cela entraîne des difficultés pour circuler à certaines heures et à certains endroits de la journée, de la tombée du jour et jusqu’à une heure tardive de la nuit. C’est un véritable casse-tête pour lequel les pouvoirs publics tentent de trouver des solutions afin de soulager les automobilistes de ces longues files d’attente, de gagner un peu de temps dans leurs déplacements, tout en épargnant des sentiments de stress et d’angoisse. Le calvaire de cette circulation est particulièrement vécu sur la corniche, depuis l’avant-port à la plage du Lever de l’aurore et jusqu’à la Caroube. Un plan de circulation a été élaboré pour rendre cette situation plus fluide. À noter, en premier lieu, l’aménagement opérationnel, depuis quelques mois, à partir Café américain, qui a grandement facilité l’entrée et la sortie des véhicules en ville. Sur la corniche, il est interdit aux véhicules d’emprunter en sens inverse la plage de Fellah Rachid (anciennement Saint Cloud). En quittant la ville depuis la plage Rizzi Amor (anciennement Chapuis), les voitures doivent emprunter la pénétrante ouest à partir du collège syndical. Cependant, bien que l’on ait constaté une légère amélioration, un problème majeur persiste : celui du stationnement. Le risque de recevoir une contravention pour stationnement interdit est toujours élevé. Enfin, les motos agacent également les riverains, en raison du bruit de leurs moteurs et des manœuvres dangereuses auxquelles certains conducteurs de ces deux-roues se livrent.
Iheb
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