Dans la foulée des débats autour de la déclaration de politique générale du gouvernement, un député a invité ses collègues à adopter un projet de loi, criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste. Un renouvellement de proposition intervenu dans le sillage de la guerre, déclarée par l’entité sioniste contre le peuple palestinien, suites aux attaques menées samedi passé par l’aile armée du mouvement Hamas, en territoires occupés. Ce qui a fait réagir Brahim Boughali, président de la chambre basse du Parlement, qui a aussitôt répondu en affirmant que ce projet avait été transmis au bureau de l’Assemblée, avant d’être rejeté. Et d’expliquer ce refus par le fait que ce « projet de loi criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste n’a pas lieu d’être, car les Algériens ne reconnaissent même pas cette entité ».
A. K.
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