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Inscriptions aux crèches et jardins d’enfants à Constantine : Les doléances des citoyens portent leurs fruits 

Il est évident que la petite enfance, qui a besoin dune prise en charge spéciale pour son développement, vient de gagner les faveurs des responsables au plus haut niveau de la wilaya. Ainsi, le wali de Constantine a délivré des instructions fermes aux responsables des secteurs concernés, leur demandant de dépêcher des inspections sur les lieux signalés et de mener cette mission dans le cadre de la commission de wilaya. Cette démarche intervient suite à de nombreuses pétitions et écrits révélant et dénonçant des conditions pour le moins douteuses, mais certainement non réglementaires, concernant la prise en charge des enfants dans certaines écoles de langues, « académies » et diverses associations. Ces endroits sont communément appelés des jardins denfants et des crèches, pullulant un peu partout à travers la wilaya. Cette commission est composée notamment de la Direction de lAction Sociale et de la Solidarité (DASS), de la direction du Commerce, de la Protection civile, de membres des services de la Gendarmerie nationale et de la Sûreté nationale. Ces inspections de contrôle consistent à entreprendre des visites sur le terrain afin de senquérir des conditions daccueil et de prise en charge des enfants, ainsi que de vérifier la nature des programmes pédagogiques qui leur sont présentés. Le communiqué publié sur le site électronique de la wilaya indique qu’il est tout à fait évident que cette activité est réglementée par les pouvoirs publics à travers le décret exécutif n°19/253 du 16 septembre 2019. Celui-ci définit les conditions de création des établissements daccueil de la petite enfance, la gestion de cette catégorie denfants, son organisation, son contrôle et sa sécurité. Dans tous les cas, cette activité est soumise à un visa délivré par les services de la DASS. Bien que les dernières informations ne précisent pas la date de lancement de ces inspections de contrôle, elles affirment néanmoins que celles-ci se poursuivent encore dans les établissements concernés.

A.    Mallem

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