Les éléments de la police relevant de la Sûreté de la daïra d’El Eulma ont mis hors d’état de nuire une bande composée de neuf personnes âgées de 18 à 45 ans, la semaine passée. Ces personnes sont impliquées dans un délit de vol à l’intérieur d’une maison située au centre-ville d’El Eulma, à 27 kilomètres à l’est du chef-lieu de wilaya de Sétif. Selon un communiqué de la direction de la Sûreté de wilaya, parvenu à notre rédaction avant-hier, jeudi 14 décembre, les enquêteurs ont pu récupérer, suite à l’élucidation de l’affaire, un montant de 350 millions de centimes ainsi qu’une quantité de bijoux en or. Le communiqué a précisé que les policiers, après avoir reçu une plainte de la victime signalant que des inconnus avaient profité de son absence pour s’emparer d’un coffre-fort blindé contenant une somme d’argent importante, ont ouvert une enquête. Ils ont commencé par exploiter les informations fournies par le plaignant, tout en lançant une opération de recherche et d’enquête sur le terrain. L’investigation a conduit à l’identification du premier suspect, confronté à tous les éléments de preuve et indices, ne laissant aucune place au déni. Suite à quoi, l’identité du reste de ses complices a été déterminée et tous les membres de la bande ont été arrêtés. À la suite des procédures d’enquête, les suspects ont été présentés devant le parquet compétent près le tribunal d’Aïn Oulmène pour vol qualifié avec circonstances aggravantes.
Atelier clandestin de nougat
La police du onzième arrondissement de la ville de Sétif a saisi, mardi 12 décembre, dans un atelier clandestin, 15.680 unités de confiseries de nougat, emballées et prêtes à la livraison, ainsi que 256 quintaux du même produit dans la section dédiée aux moules. L’affaire a été traitée en collaboration avec les agents de la direction du Commerce de la wilaya, suite à des informations parvenues au service de la Police Judiciaire (PJ) relevant de la onzième Sûreté urbaine de Sétif (située aux 500 logements). Les agents ont immédiatement ouvert une enquête et ont ensuite inspecté et contrôlé les lieux. Le produit saisi, dépourvu de tout étiquetage, était fabriqué dans un atelier qui ne répondait à aucune mesure d’hygiène. Selon le communiqué parvenu à notre rédaction hier, vendredi 15 décembre, la marchandise est impropre à la consommation, et le mis en cause, âgé de 38 ans, comparaîtra prochainement devant les instances judiciaires compétentes.
Faouzi Senoussaoui
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