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Les commandes peuvent être passées dès aujourd’hui : La FIAT « made in Algeria » à partir de 217,9 millions

FIAT El Djazaïr, filiale du constructeur automobile italien FIAT en Algérie, dévoile les prix de ses voitures montées localement. Deux modèles sortiront de l’usine Tafraoui et seront commercialisés à partir de 217,9 millions de centimes. C’est ce qu’a indiqué le constructeur, dans un communiqué rendu public, hier dimanche, annonçant que les commandes peuvent être passées à partir d’aujourd’hui. Les deux modèles en question sont la FIAT 500 hybride finition « Cult », qui sera cédée au prix de 217,9 millions et la « Dolce Vita », qui sera commercialisée à 235,9 millions. « Un prix qui n’inclut pas la peinture métallisée », ajoute le document. FIAT El Djazaïr précise que les intéressés peuvent recourir à un crédit bancaire via « BNP Paribas El Djazaïr » ou « El Baraka Bank ». L’usine FIAT de Tafraoui, dans la wilaya d’Oran, a été inaugurée au mois de décembre dernier et permettra la construction de trois modèles de la marque. Selon sa fiche technique, la FIAT 500 Hybrid incarne le design et le style de vie italiens. Malgré les évolutions qu’elle a traversées pendant plus de 60 ans, elle demeure « fidèle à son esprit d’origine », peut-on lire dans le communiqué. Équipée d’un moteur essence de 1 litre, développant 70 chevaux, la FIAT 500 offre une mobilité durable et une conduite dynamique, grâce à la technologie « Mild Hybrid », réduisant jusqu’à 20 % la consommation et les émissions de CO2. Avec ses sept airbags, l’ABS et l’ESP, cette citadine suréquipée est proposée en « vert rugiada » et « blanc gelato ». « Les conditions, modalités et éligibilité du financement bancaire sont disponibles dans les showrooms FIAT ou auprès des deux banques partenaires », précise la même source. Pour rappel, FIAT a été le premier constructeur automobile à être autorisé à importer directement des véhicules finis et prêts à la vente sur le marché national, après un arrêt des importations qui aura duré près de quatre ans. Plusieurs modèles ont été importés et écoulés. Mais le constructeur italien, comme les autres constructeurs autorisés à importer, n’arrive pas à satisfaire la demande et à influer sur les prix, notamment ceux des voitures d’occasion, qui ont atteint des niveaux excessivement élevés.

Samir Rabah

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