Il faudrait faire preuve d’une grande naïveté pour croire que le Makhzen et ses sbires vont cesser facilement leurs coups tordus et leur propagande insidieuse contre notre pays. Que nenni ! En plus des kilomètres de « conneries » que ses médias relais débitent quasi quotidiennement sur l’Algérie, le royaume de M6 s’offre les services de medias-mensonge de pays voisins, pour tenter vainement de faire passer ses pilules, décidément trop grosses pour être avalées par l’opinion publique. En effet, deux journaux électroniques de la voisine Mauritanie se sont prêtés à ce petit jeu malsain du Maroc, offrant leurs « colonnes » à de la mauvaise littérature « made in Makhzen », juste pour provoquer des incidents diplomatiques entre l’Algérie et la Mauritanie. On aura bien compris que le royaume de l’intrigue est terriblement gêné par l’excellence des relations entre les deux pays, qui n’ont jamais connu ne serait-ce qu’un petit nuage d’été comme on dit. Les sujets du Roi ont donc arrosé ces deux publications de fric pourri, pour fabriquer des histoires à dormir debout contre l’Algérie et son président, Abdelmadjid Tebboune. Comme il fallait s’y attendre, ces tissus de mensonges n’ont pas échappé à la vigilance de la haute autorité de la presse et de l’audiovisuel de la Mauritanie, qui a illico presto ordonné aux deux « torchons » de supprimer « immédiatement » les articles foncièrement anti Algérie, pondus par des plumes stipendiées par le Makhzen. Ce dernier, qui croyait avoir réussi son coup en ouvrant un autre front anti Algérien avec la Mauritanie, se voit ainsi rappelé à l’ordre comme un bleu. Le coup est heureusement raté. L’Algérie et la Mauritanie sont plus que des pays voisins, ils sont des pays frères. Et ce n’est pas une petite manœuvre des services de la sinistre DGED qui va ébranler une fraternité qui dure depuis les indépendances des deux pays. Un conseil au Makhzen : plutôt que de chercher à porter atteinte aux relations entre les l’Algérie et la Mauritanie, il serait mieux inspiré de se préparer à la révolte du RIF, dont le mouvement de libération a déjà lancé son offensive diplomatique. Tel est pris qui croyait prendre !
Par Imane B.
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