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Moteur du téléphérique de Constantine en panne : La remise en service de nouveau reportée

La remise en service du téléphérique de Constantine, initialement prévue pour le mardi 19 mars à loccasion de la célébration de la Journée nationale de la victoire, a été reportée à une date indéterminée. La cause ? Le directeur adjoint de lEntreprise de Transport Algérien par Câbles (ETAC), la expliquée en indiquant quune panne est intervenue sur le moteur principal du système, ce qui a conduit lentreprise dexploitation à lancer, dans lurgence, la commande d’un autre moteur provenant d’un pays étranger, en loccurrence la France. Larbi Boumediene, a en effet expliqué qu’il était prévu que ce système de transport urbain, très prisé par la population constantinoise, n’a pas été opérationnel comme prévu et que la remise en fonctionnement de ce système na pas encore été programmée. Il a également assuré que la procédure d’acquisition de ce nouveau moteur a été accomplie et que le chantier de réfection et de préparation au fonctionnement est complètement achevé. Parmi ces dispositions importantes et pointues, il y a la sécurité du transport et du système en général. Il a ajouté que le système électronique de sécurité a été mis en place et relie les trois stations, celles de la cité Emir Abdelkader, la station intermédiaire devant le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Benbadis et celle de la rue Tatache Belkacem. Rappelons que les essais techniques du système ont été effectués il y a plus de 45 jours en présence du wali de Constantine et qu’il était prévu que le téléphérique entrerait en fonction au début du mois de mars au moyen de quatre cabines avec une capacité de transport journalier de 4.000 voyageurs aller-retour. Ceci au moment où le prix du ticket a été fixé à trente dinars. Malheureusement, tous ces préparatifs n’ont pas abouti et le rendez-vous final a été manqué, pour la grande déception des voyageurs constantinois qui croient maintenant dur comme fer que « leur » téléphérique a été frappé par le mauvais sort. Quoi qu’il en soit, ils devront encore patienter.

A. Mallem

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