649 views 3 mins 0 Comment

Son pronostic vital est selon des sources médicales, réservé : Le corps d’une étudiante déchiqueté par une meute de chiens

Une étudiante (B.K.F), agée de 24 ans, originaire de la commune de Sidi Aissa dans la wilaya de Msila, a été dans la matinée de jeudi, vers 6h30, attaquée et le corps déchiqueté par une meute de chiens errants qui pourraient être enragés. La scène s’est passée à l’intérieur de l’enceinte universitaire, précisément sur la place jouxtant la bibliothèque centrale du campus appelé communément, faculté centrale ou l’ancienne université.

 La victime qui a soutenu publiquement mercredi, sa thèse de fin de formation de master en génie des procédés au niveau de l’institut de technologie sis au niveau du campus El Maabouda de l’université Ferhat Abbas de Sétif, est sortie de la cité universitaire 19 mai, s’apprêtaient à quitter l’université pour rejoindre l’arrêt du tramway près du portail principal.

Selon des sources médicales bien informées, aucune partie du corps de la jeune fille n’a été épargnée des blessures qui ont été très profondes au niveau de la tête, du visage, des bras, des aisselles et des jambes. Selon des sources médicales concordantes, le corps a été déchiqueté et le cuir chevelu scalpé (enlevé). A cet effet et vu l’aspect grave des blessures, nous nous abstenons de publier des images en notre possession, que nous considérons choquantes.

La victime qui , si Dieu lui prête vie, n’oubliera jamais ce qu’elle a vécu et qui a été secourue et évacuée par les éléments de la protection civile, vers le service des urgences médico-chirurgicales du CHU Saadna Mohamed Abdennour de Sétif, a été aussitôt admise au niveau du bloc opératoire où une équipe de chirurgiens et paramédicaux a été mobilisée pour la prendre en charge.

Il est à noter que cette attaque  a mis en émoi toute la population de Sétif et de Sidi Aissa qui se sont interrogés sur la présence de meutes de chiens errants au niveau de l’université. Les services et les agents de sécurité au niveau des cités universitaires et du campus ne pouvaient il pas chasser les bêtes qui pourraient être sauvages et qui constituent un danger pour la santé et la vie des étudiants et des professeurs.

Faouzi Senoussaoui

Comments are closed.