Mais quelle mouche a donc piqué les racistes de l’association internationale de boxe (IBA) qui redoublent de férocité dans l’espoir d’avorter le rêve d’une médaille olympique pour notre championne, Imane Khelif ? La question mérite d’être posée, au regard du coup au-dessous de la ceinture asséné hier par les membres de ce machin, non reconnu par le Comité International Olympique (CIO) soit dit en passant, qui ont convoqué une conférence de presse pour enfoncer le couteau dans la plaie. C’est à la limite du voyeurisme que de relancer la polémique sur la « féminité » d’Imane, curieusement à la veille de sa demi-finale ! Une cabale jamais subie par un athlète depuis la création des Jeux Olympiques, où l’esprit sportif et les vertus de l’olympisme sont censés être respectés. C’est une véritable chasse à la femme qu’a déclenché cette sinistre « IBA », dont l’objectif est de barrer la route à notre championne, comme il l’avait fait en 2023 lors des championnats du monde à New Delhi. Mais ce combat douteux ne risque pas d’aboutir cette fois, pas après que le monde entier a découvert ce gigantesque complot, contre une jeune fille de 25 ans, ciblée par des milieux sulfureux où se côtoient makhzeniens, sionistes et autres algérophobes. Il est certain que ces mesquins n’y verront que du feu aujourd’hui, quand notre Imane nationale compostera son ticket pour la grande finale olympique. Hier, sa compatriote Roumaissa Boualem est allée chahuter la conférence de presse de ces minables individus stipendiés de l’IBA et de ses sponsors, qui tentaient un ultime assaut contre Khelif sans fournir le moindre argument. Mal leur en a pris, puisque les médias présents ont accouru vers Romaissa Boualem, emmitouflée dans l’emblème national pour l’interroger, laissant les guignols de l’IBA bouche bée. Entre temps, le président du Comité International Olympique (CIO) a rendu hier public un communiqué, dans lequel il réaffirme son soutien indéfectible à la championne algérienne et lui a exprimé son admiration pour sa résilience face à l’odieuse campagne dont elle est victime. Il ne reste désormais plus à Imane que d’envoyer au tapis son adversaire et de s’envoler vers la grande finale, pour fermer pleins de becs. Nous sommes certains que tu vas gagner cette sale guerre. Vive Imane Khelif et vive l’Algérie !
Par Imane B.
Partager :