Conseil des ministres : Des mesures qui rendent à l’Algérien sa dignité

Le président de la République qui prône une politique économique à même de hisser l’Algérie au rang des pays émergents à l’ombre d’un Etat fort justement de son économie ne se départit pas de sa vision qui cible le bien être du citoyen. Cette vision est confortée par des mesures qui rendent au citoyen algérien sa dignité. Les annonces faites hier lors du Conseil des ministres participent de cette logique et découlent de ses engagements réitérés pour appuyer sa volonté affichée de construire un Etat fort de son économie, de sa démocratie et son corollaire la justice sociale. Les mesures en question s’articulent, entre autres autour de l’augmentation de l’allocation touristique et de la bourse octroyée aux étudiants locaux et à l’étranger. Tebboune, a présidé, hier, une réunion du Conseil des ministres au cours de laquelle il a ordonné l’augmentation du montant de l’allocation touristique, de l’allocation du hadj et de la bourse des étudiants, saluant le modèle financier du projet de loi de finances (PLF) qui ne prévoit aucune hausse d’impôts. A cet effet, le président de la République a ordonné une augmentation “substantielle” du montant de l’allocation touristique octroyée une fois par an au profit des citoyens voyageant à l’étranger, de même que l’allocation du hadj et de la bourse des étudiants, à l’intérieur du pays et à l’étranger. Par ailleurs, le président de la République a salué le modèle financier du PLF qui ne prévoit aucune hausse d’impôts concernant la vie quotidienne du citoyen. A cette occasion, le président de la République a donné des instructions pour la création de l’Agence nationale des grands équilibres et de la prospective pour un suivi minutieux des sous-budgets et budgets sectoriels en vue de consacrer la transparence. S’agissant de la situation sanitaire prévalant dans les régions frontalières du Sud, le président de la République a ordonné un suivi rigoureux de la situation sanitaire relative à l’épidémie de diphtérie et de paludisme dans les régions de l’extrême sud qui continuent d’enregistrer des cas. Nous y reviendrons dans notre prochaine édition.