Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Yassine Mérabi, a donné, hier mardi ; le coup d’envoi de la nouvelle année de formation professionnelle.Une rentrée qui s’est déroulée, sous le slogan, « Formation professionnelle, autonomisation économique et gouvernance numérique», «en droite ligne, a précisé le ministre qui était à Oran, des grandes tendances de l’économie nationale, dont les priorités sont notamment la création d’un changement qualitatif dans l’économie nationale, d’un développement économique de qualité, en renforçant la production nationale et en ouvrant la voie aux investissements étrangers, en générant des richesses et en transmettant des technologies modernes, qui nécessitent un accompagnement constant aux changements qui se produisent dans les compétences de la main-d’œuvre que ces investissements nécessitent».Le ministre a révélé que les offres de formation dispensées au cours de cette année s’élèvent à plus de 395.336 places pédagogiques, réparties selon la nature et les différents types de formation, qui ont été localisées à travers la plateforme numérique «Ma Profession» approuvée dans le processus d’inscription en ligne des candidats à la formation. . Dans ce cadre, 443 spécialisations couronnées d’un certificat ont été ouvertes lors de cette entrée, dont 158 spécialisations pour les candidats du niveau de terminale s et 145 spécialisations qualifiantes de courte durée, qui couvrent toutes 23 divisions professionnelles répertoriées dans le Code des branches professionnelles et spécialisations de formation dans son édition actuelle, ajoute Mérabi. Le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels propose également de nombreuses formations de courte durée en fonction des besoins du développement local, visant à acquérir des compétences particulières permettant aux demandeurs de formation d’obtenir une qualification initiale leur permettant d’avoir la possibilité d’une insertion professionnelle ou de créer leur propre entreprise. mini-entreprises et répondre aux besoins de l’environnement économique, notamment dans l’aquaculture, dans les chemins de fer, dans l’industrie fromagère, dans la direction de la chaîne de conditionnement des produits agricoles alimentaires et des produits laitiers et dans l’emballage», précise le ministre.
A.K.
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