L’université Ferhat Abbas Sétif-1 (UFAS) marque de nouveaux points. Spécialisée dans les sciences et les technologies et portant le nom d’une illustre personnalité, elle récidive. Selon le dernier classement de la revue anglaise Times Higher Education (THE) « Young University Rankings », dédié aux universités n’ayant pas cinquante ans d’existence, l’UFAS décroche, une nouvelle fois, la première place en Algérie et au Maghreb. Sur l’échelle continentale, l’UFAS occupe la deuxième marche du podium. Mondialement, elle se place à la 98ème position des universités de moins de cinquante ans. D’après le même classement, l’université de Guelma est deuxième à l’échelle nationale, suivie par celles (ex-æquo) de Tlemcen, Annaba, Béjaïa, Biskra, Blida-1, Boumerdes, Tizi Ouzou et l’Université des Sciences et des Technologie (USTO) d’Oran. Notons, à toutes fins utiles, qu’un tel classement n’est pas fortuit. Il obéit à des conditions scientifiques strictes. Le classement THE repose sur treize indicateurs soigneusement calibrés qui mesurent la performance d’un établissement dans les domaines de l’enseignement, de la recherche, du transfert des connaissances et des perspectives internationales. Avec son armada de chercheurs détenteurs de plusieurs brevets et distinctions internationales, l’UFAS démontre que l’université algérienne est une véritable pépinière de compétences et d’éminences grises. A travers ce classement, l’UFAS consolide nettement sa position puisqu’elle passe de la 140ème place en 2022 à la 98ème en 2023. Elle demeure ainsi leader à l’échelle nationale et régionale, et ce, pour la troisième année consécutive. Nous y reviendrons…
A. B.
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