Décidément «l’écri…vain», malheureusement algérien, Boualem Sansal, repousse incroyablement les limites de son indignité. Dans cette séquence d’une tragédie inédite pour le peuple palestinien de Ghaza, victime d’un nettoyage ethnique, avec plus de 6.000 martyrs dont 2.000 enfants, cet horrible homme de lettres pousse l’indécence et le cynisme jusqu’à faire des génuflexions et à jurer fidélité à l’entité sioniste! Quel déshonneur et quelle bassesse, pour un homme qui vend ainsi son humanité pour être dans les bonnes grâces des assassins d’enfants !«Je ne suis pas juif génétiquement parlant, mais culturellement je le suis assez». Il faut avoir le courage pour dire une telle vilénie. Et en parlant de génétique, il va falloir vérifier si ce quidam est vraiment algérien de souche. Il est en effet difficile de croire que cette terre, arrosée du sang des martyrs, puisse enfanter un allié et un rallié au sionisme comme Sansal. Nous ne sommes pas partisans de la race aryenne mais l’Algérien, de par son histoire et ses souffrances, est culturellement (tiens, tiens justement !) allergique à toutes formes d’asservissement, encore moins de colonisation et d’exactions. Il en a trop souffert, tout au long de son histoire, pour faire la courte échelle aux assassins comme Netanyahou. Non, Boualem Sansal, vous n’êtes pas digne de l’Algérie et de ses combats. Pas plus que vous n’êtes digne des sacrifices de Abane, Didouche, Ben M’hidi et Zighoud. Par votre honteuse prosternation devant les massacreurs d’enfants et de femmes à Ghaza, vous vous êtes exclu de ce pays, pour qui la cause palestinienne est sacrée. Vous avez souillé votre nom, ou ce qui en reste. Terrible est votre chute, sans gloire, du piédestal littéraire où vos sponsors sionistes vous ont placés pour «services rendus» à leur projet mortifère. Et pour cause ! Au moment où dans le monde entier des voix sages s’élèvent, chaque jour un peu plus, pour dénoncer l’holocauste que l’armée d’occupation sioniste commet à Ghaza, vous avez préféré vous couvrir de honte et de ridicule, dans votre pitoyable volonté d’être plus juif que les juifs. Et pour espérer convaincre vos recruteurs que vous serez un «bon soldat» de l’armée de Netanyahou, vous convoquez dans le magazine Le Point, un souvenir d’enfance d’avoir – vraiment ou non- habité à l’ex-Belcourt (actuellement Belouizdad) dans une chambre de bonne attenante à la synagogue du quartier. Vous y précisez que vous étiez pris en charge par un vieux rabbin, qui vous a transmis «sa sagesse et son immense savoir judaïques » (sic) Et vous ajoutez sans rire : «C’est ainsi que je suis devenu grouillot de synagogue et apprenti rabbin, juif par la culture et non par ma mère… ».Voilà donc comment le petit apprenti du rabbin est devenu un larbin accompli du sionisme. Pauvre Boualem !
Par Imane B
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